« Ce Pays est tissé d’une multitude de paysages, incroyablement singuliers, rallumés sans cesse par les braises du soleil, les vents impétueux, les froids glacials, les cheminements monotones de quelques bêtes… », écrit Joël Vernet en préface. Cette diversité qu’il souligne, que Bernard Jollivet nomme « constellation des pluriels », constituerait finalement un fond, un
« Ce Pays est tissé d'une multitude de paysages, incroyablement singuliers, rallumés sans cesse par les braises du soleil, les vents impétueux, les froids glacials, les cheminements monotones de quelques bêtes… », écrit Joël Vernet en préface. Cette diversité qu’il souligne, que Bernard Jollivet nomme « constellation des pluriels », constituerait finalement un fond, un caractère dont on connaitrait quelques traits. À chacun ses secrets, à chacun sa Haute-Loire. Elle est « une affaire personnelle » selon Michel C. Thomas. Elle est une « haute alliée », « un trait d’union » ou un « grand écart » pour Corinne Pradier, une « bonne montagne » pour Pierre Présumey ou « l’empire de l’horizon » selon Dominique Machabert.
Formuler la Haute-Loire en mots et en photographies : les dix-huit auteurs de cet ouvrage en ont fait chacun leur affaire. La voilà déclinée de toutes les façons, mais entièrement elle-même, volcanique, solide, liquide, aérienne, irrémédiable de toute façon.